Post by unknownUn site intéressant qui semble valider la théorie des canards.
C'est de la vulgarisation et on peut légitimement s'interroger
sur la pertinence de certaines analogies, mais l'ensemble est
http://www.canards.net/06/
Voyons, c'est en fait un site peu sérieux,
qui ne va pas au bout de son raisonnement
et fait même de troublantes confusions entre canard et poulet,
ce qui le décrédibilise complètement.
Il vaut mieux appuyer votre réflexion
sur un vrai site de référence, complet, digne de foi,
qui explore toutes les conséquences de l'hypothèse initiale :
"L'univers des patates" :
http://www.20six.fr/KingPotatoes
Je vous conseille également ces textes,
entre Newton, Nostradamus et La Phénoménologie de l'esprit
qui au prix d'une exégèse savante, vous
offriront les clés de l'univers
"La patate aux 42 yeux" :
http://www.societe-jersiaise.org/geraint/jerriais/patates.html
(plusieurs liens en bas de page)
Enfin, si certains s'obstinent à nier l'évidence,
si leur esprit et leur cœur restent fermés
aux beautés de la vérité,
il ne faut pas hésiter à en appeler à l'inspiration et
je ne peux que vous rappelez ce texte ancien
d'un local cantalien, qui avec sa simple foi
et son bon sens terrien,
peut éclairer bien des têtes bornées et enfumées :
"O Reine du royaume de la terre.
Tous, hommes, femmes, enfants, porcs, te proclament sans cesse.
Sainte ! Sainte ! Parmentier un jour t'a ramenée.
Les cieux, la terre, nos jardins et assiettes sont emplies de ta gloire.
Le chour souterrain des vers de terre,
Le très vénérable sir MAC'DO
L'armée métallique des éplucheuses
Le petit « économe » de nos tiroirs
La Sainte Bouffe
Proclament ton nom d'infinies manières,
et te vénèrent,
en robe ou papillote, éfritée, râpée, gratinée
ainsi qu'écrasée, consolatrice des édentés.
Ô mère d'inépuisables saveurs
Teutonne Kartoffel
De ta terre noire débarrassée
Tavelée, belle et jaunie tu apparais.
Pour apaiser l'homme
Tu n'as pas eu horreur
Des entrailles du sol.
Tu as brisé l'aiguillon de la mort
Ouvert nos estomacs au parfum de ton corps.
Tu es assise au fronton de d'édifice culinaire cantalien.
Nous te supplions de continuer à nourrir tes serviteurs
Fais que n'apparaisse jamais, la patate transgénique.
Sauve ton peuple roturier
Et demeure notre héritage.
Chaque jour nous te bénissons
Et nous louons ton nom dans ce siècle
Et dans le siècle à venir.
Daigne nous préserver des intentions scientifiques de nos nobles savants.
Aies pitié d'eux
Patate, aies pitié de nous
Et que ta grande miséricorde
Se répande encore dans les jardins de nos villages.
J'ai espéré en toi,
Ô Pomme de Terre !
Jamais nous ne pourrons être rassasiés
A jamais demeure inégalée."
http://www.cantalpassion.com/rubriques_de_jean_francois_coulon-2002.htm