Discussion:
Synchronisation d'Einstein
(trop ancien pour répondre)
Richard Hachel
2024-11-16 15:28:22 UTC
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C'est pas que sa synchronisation ment.

C'est qu'elle ment pas omission.

Même les plus grands crétins pauliniens (faut quand même être con) en
parlaient.

On peut pêcher en action, en pensée, et par omission.

Par omission : c'est le crime le plus simple et le plus caché.

On oublie de dire la vérité : voilà tout.

Einstein a raison : mais il ne dit pas qu'il fait de la synchro de type M.

Il se tait sur le reste.

<http://nemoweb.net/jntp?VgmU9dJ-UH-***@jntp/Data.Media:1>

R.H.
Richard Hachel
2024-11-16 15:28:56 UTC
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Post by Richard Hachel
C'est pas que sa synchronisation ment.
C'est qu'elle ment pas omission.
Même les plus grands crétins pauliniens (faut quand même être con) en
parlaient.
On peut pêcher en action, en pensée, et par omission.
Par omission : c'est le crime le plus simple et le plus caché.
On oublie de dire la vérité : voilà tout.
Einstein a raison : mais il ne dit pas qu'il fait de la synchro de type M.
Il se tait sur le reste.
R.H.
<http://nemoweb.net/jntp?***@jntp/Data.Media:1>

R.H.
Python
2024-11-17 11:24:19 UTC
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Post by Richard Hachel
C'est pas que sa synchronisation ment.
C'est qu'elle ment pas omission.
Même les plus grands crétins pauliniens (faut quand même être con) en
parlaient.
On peut pêcher en action, en pensée, et par omission.
Par omission : c'est le crime le plus simple et le plus caché.
On oublie de dire la vérité : voilà tout.
Einstein a raison : mais il ne dit pas qu'il fait de la synchro de type M.
Il se tait sur le reste.
R.H.
*Lors de la phase de synchronisation* entre l'horloge A et l'horloge B
seuls, parmi tes notations seules celles-ci ont un sens :

tA(e1), tB(e2) et tA(e3) parce que e1 et e3 sont des évènements qui ont
lieu en A et en B pour e2. Sans définition de synchronisation le temps
indiqué par une horloge lorsqu'un événement à lieu ailleurs n'a pas de
sens.

Il n'y a aucune ambiguïté dans l'article d'Einstein où ces valeurs sont
dénotées par tA, tB et t'A.

Il n'y a, par ailleurs, aucun "point M" qui intervient (et aucun de trois
"tM(...)" n'a de sens puisque aucun des événements e1, e2 et e3 ne se
produit là.

Tu devrais passer un peu de temps à jouer avec mon application :

https://www.noedge.net/e/

Les valeurs indiquées par les horloges avant de lancer la synchronisation
peuvent être quelconque ! Contrairement à ce que tu avais prétendu dans
un autre fil ! Tu peux même les saisir toi-même ou les fixer au hasard.

Ensuite quand tu lances le test de synchro (de A vers B ou l'inverse) les
valeurs tA, tB et t'A suffisent à :

- Savoir si la convention de synchro est vraie ou fausse (tB - tA = t'A -
tA)
- Calculer le ou les décalages à appliquer à l'une ou l'autre horloge
ou aux deux

Il suffit que les opérateurs placées en A et en B connaissent ces trois
valeurs. Ils peuvent se les transmettre par le moyen qu'ils veulent (la
Poste, un pigeon voyageur, des signaux de fumée, peu importe). On voit
bien qu'aucun point "M" n'intervient dans la procédure.

Dire autrement est un flagrant mensonge ou un signe de profonde bêtise.
Python
2024-11-17 12:15:52 UTC
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Post by Richard Hachel
C'est pas que sa synchronisation ment.
C'est qu'elle ment pas omission.
Même les plus grands crétins pauliniens (faut quand même être con) en
parlaient.
On peut pêcher en action, en pensée, et par omission.
Par omission : c'est le crime le plus simple et le plus caché.
On oublie de dire la vérité : voilà tout.
Einstein a raison : mais il ne dit pas qu'il fait de la synchro de type M.
Il se tait sur le reste.
R.H.
*Lors de la phase de synchronisation* entre l'horloge A et l'horloge B
seuls, parmi tes notations seules celles-ci ont un sens :

tA(e1), tB(e2) et tA(e3) parce que e1 et e3 sont des évènements qui ont
lieu en A et en B pour e2. Sans définition de synchronisation le temps
indiqué par une horloge lorsqu'un événement à lieu ailleurs n'a pas de
sens.

Il n'y a aucune ambiguïté dans l'article d'Einstein où ces valeurs sont
dénotées par tA, tB et t'A.

Il n'y a, par ailleurs, aucun "point M" qui intervient (et aucun de trois
"tM(...)" n'a de sens puisque aucun des événements e1, e2 et e3 ne se
produit là.

Tu devrais passer un peu de temps à jouer avec mon application :

https://www.noedge.net/e/

Les valeurs indiquées par les horloges avant de lancer la synchronisation
peuvent être quelconque ! Contrairement à ce que tu avais prétendu dans
un autre fil ! Tu peux même les saisir toi-même ou les fixer au hasard.

Ensuite quand tu lances le test de synchro (de A vers B ou l'inverse) les
valeurs tA, tB et t'A suffisent à :

- Savoir si la convention de synchro est vraie ou fausse (tB - tA = t'A -
tB) [erratum : tB pas tA à gauche)

- Calculer le ou les décalages à appliquer à l'une ou l'autre horloge
ou aux deux

Il suffit que les opérateurs placées en A et en B connaissent ces trois
valeurs. Ils peuvent se les transmettre par le moyen qu'ils veulent (la
Poste, un pigeon voyageur, des signaux de fumée, peu importe). On voit
bien qu'aucun point "M" n'intervient dans la procédure.

Dire autrement est un flagrant mensonge ou un signe de profonde bêtise.
Richard Hachel
2024-11-17 17:42:49 UTC
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Post by Richard Hachel
C'est pas que sa synchronisation ment.
C'est qu'elle ment pas omission.
Même les plus grands crétins pauliniens (faut quand même être con) en
parlaient.
On peut pêcher en action, en pensée, et par omission.
Par omission : c'est le crime le plus simple et le plus caché.
On oublie de dire la vérité : voilà tout.
Einstein a raison : mais il ne dit pas qu'il fait de la synchro de type M.
Il se tait sur le reste.
R.H.
*Lors de la phase de synchronisation* entre l'horloge A et l'horloge B seuls,
tA(e1), tB(e2) et tA(e3) parce que e1 et e3 sont des évènements qui ont lieu
en A et en B pour e2. Sans définition de synchronisation le temps indiqué par
une horloge lorsqu'un événement à lieu ailleurs n'a pas de sens.
Il n'y a aucune ambiguïté dans l'article d'Einstein où ces valeurs sont
dénotées par tA, tB et t'A.
Il n'y a, par ailleurs, aucun "point M" qui intervient (et aucun de trois
"tM(...)" n'a de sens puisque aucun des événements e1, e2 et e3 ne se produit
là.
https://www.noedge.net/e/
Les valeurs indiquées par les horloges avant de lancer la synchronisation
peuvent être quelconque ! Contrairement à ce que tu avais prétendu dans un
autre fil ! Tu peux même les saisir toi-même ou les fixer au hasard.
Ensuite quand tu lances le test de synchro (de A vers B ou l'inverse) les
- Savoir si la convention de synchro est vraie ou fausse (tB - tA = t'A - tB)
[erratum : tB pas tA à gauche)
- Calculer le ou les décalages à appliquer à l'une ou l'autre horloge ou aux
deux
Il suffit que les opérateurs placées en A et en B connaissent ces trois
valeurs. Ils peuvent se les transmettre par le moyen qu'ils veulent (la Poste, un
pigeon voyageur, des signaux de fumée, peu importe). On voit bien qu'aucun point
"M" n'intervient dans la procédure.
Dire autrement est un flagrant mensonge ou un signe de profonde bêtise.
Sans rire?

R.H.
Python
2024-11-17 18:10:09 UTC
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Post by Richard Hachel
Post by Richard Hachel
C'est pas que sa synchronisation ment.
C'est qu'elle ment pas omission.
Même les plus grands crétins pauliniens (faut quand même être con) en
parlaient.
On peut pêcher en action, en pensée, et par omission.
Par omission : c'est le crime le plus simple et le plus caché.
On oublie de dire la vérité : voilà tout.
Einstein a raison : mais il ne dit pas qu'il fait de la synchro de type M.
Il se tait sur le reste.
R.H.
*Lors de la phase de synchronisation* entre l'horloge A et l'horloge B seuls,
tA(e1), tB(e2) et tA(e3) parce que e1 et e3 sont des évènements qui ont lieu
en A et en B pour e2. Sans définition de synchronisation le temps indiqué par une
horloge lorsqu'un événement à lieu ailleurs n'a pas de sens.
Il n'y a aucune ambiguïté dans l'article d'Einstein où ces valeurs sont
dénotées par tA, tB et t'A.
Il n'y a, par ailleurs, aucun "point M" qui intervient (et aucun de trois
"tM(...)" n'a de sens puisque aucun des événements e1, e2 et e3 ne se produit
là.
https://www.noedge.net/e/
Les valeurs indiquées par les horloges avant de lancer la synchronisation
peuvent être quelconque ! Contrairement à ce que tu avais prétendu dans un autre
fil ! Tu peux même les saisir toi-même ou les fixer au hasard.
Ensuite quand tu lances le test de synchro (de A vers B ou l'inverse) les
- Savoir si la convention de synchro est vraie ou fausse (tB - tA = t'A - tB)
[erratum : tB pas tA à gauche)
- Calculer le ou les décalages à appliquer à l'une ou l'autre horloge ou aux
deux
Il suffit que les opérateurs placées en A et en B connaissent ces trois
valeurs. Ils peuvent se les transmettre par le moyen qu'ils veulent (la Poste, un
pigeon voyageur, des signaux de fumée, peu importe). On voit bien qu'aucun point
"M" n'intervient dans la procédure.
Dire autrement est un flagrant mensonge ou un signe de profonde bêtise.
Sans rire?
R.H.
Sans rire.
Richard Hachel
2024-11-17 22:22:05 UTC
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*Lors de la phase de synchronisation* entre l'horloge A et l'horloge B seuls,
Non, justement.

Il n'y a que deux mesures que l'on peut trouver indiscutables.

tA(e1) et tA(e3).

Bref, il n'est possible, en relativité bien comprise (mais là on peut
toujours rêver), que de synchroniser une horloge qu'avec soi même. Tout
autre horloge n'est PAS synchronisable.

Cela serait possible si le temps présent universel existait.

Une sorte de simultanéité "plate" aussi plate que la doctrine de la
terre plate, et où le temps présent est le même temps présent pour
tous, ce qui serait, avouons-le, très simple et très pratique.

Sauf qu'on peut toujours allez se faire mettre chez les grecs... Ca ne
marche comme ça que dans l'esprit débile des physiciens post-newtoniens
pré-hachéliens.
tA(e1), tB(e2) et tA(e3) parce que e1 et e3 sont des évènements qui ont lieu
en A et en B pour e2. Sans définition de synchronisation le temps indiqué par
une horloge lorsqu'un événement à lieu ailleurs n'a pas de sens.
Exactement.

Ici, on ne peut pour l'instant, connaître que tA(e1) et tA(e3) parce que
cela se passe en A, et que c'est
A qui a déclenché ça montre de façon tout à fait légale. A est en
droit de dire : "J'émets mon photon, et je déclenche en même temps ma
montre". Les deux événement sont conjoints. Il n'y a aucun problème.

Pas plus qu'il n'y a de problème en disant : "Je reçois la réponse et
j'arrête mon chrono". Nouvel événement conjoint. tA(e1)=0µs
tA(e3)=2µs.

tA(e3)-tA(e1)=2AB/c

Personne au monde ne peut contredire.

Le reste n'est que prétention isochrone sans aucune preuve (et on n'en
trouvera jamais, bien au contraire).

Que vaut alors tA(e2)? Le mystère est entier, et c'est la connerie
humaine qui veut que, rendu abrtis par leur notion de présent plat, des
tas de singes se croient en droit d'affirmer tA(e2)=1µs, ce qui est la
bévue la plus catastrophique de l'histoire de la relativité.
Il n'y a aucune ambiguïté dans l'article d'Einstein où ces valeurs sont
dénotées par tA, tB et t'A.
Einstein fait quelques lignes là dessus. Poincaré une seule. Aucune
démonstration, rien. On admet le temps présent comme absolu par
changement positionnel. C'est faux.

J'en fait quelques pages, preuve que ce n'est pas si simple.
Il n'y a, par ailleurs, aucun "point M" qui intervient (et aucun de trois
"tM(...)" n'a de sens puisque aucun des événements e1, e2 et e3 ne se produit
là.
Tu n'as pas lu mon pdf, pour la simple raison, que je n'ai publié que
deux pages.

Je vais te montrer en quoi et pourquoi consiste la synchronisation de
type M (qui est celle non du temps présent plat, mais de l'hyperplan de
simultanéité d'un point abstrait, mais qui va se révéler fort utile).
https://www.noedge.net/e/
C'est très joli, mais c'est très hors de la plaque.

En fait, tu fais une synchronisation de type M sans le savoir (comme
monsieur Jourdain faisait de la prose sans le savoir).
Les valeurs indiquées par les horloges avant de lancer la synchronisation
peuvent être quelconque ! Contrairement à ce que tu avais prétendu dans un
autre fil ! Tu peux même les saisir toi-même ou les fixer au hasard.
Tu ne comprends toujours pas ce que je dis.

Certes tu peux fixer l'horloge B à tB(e2)=17µs

Pourquoi pas. Mais même si tu la fixes à tB(e2)=1µs, tout cela sera
insynchronisable. Aucune des montres ne pourra s'accorder pour dire que
les événements ont eut lieu à telle heure absolue.

Ce que tu fais toi, dans ta démo, c'est de montrer qu'on peut faire une
synchronisation intéressante, pratique, logique. Mais tu n'explique pas
(parce que tu ne le sait pas) que c'est une synchro utile, mais abstraite,
et fixée sur un point M tel que je l'ai défini.
Ensuite quand tu lances le test de synchro (de A vers B ou l'inverse) les
- Savoir si la convention de synchro est vraie ou fausse (tB - tA = t'A - tB)
[erratum : tB pas tA à gauche)
Tu ne peux pas écrire tB-tA car ce sont deux mesures différentes
prises sur des endroits différents, et qu'on ne pourra jamais
synchroniser. Idem pour tA'-tB.

C'est comme si tu commençais déjà à écrire 17 carottes - 3 navets.

L'erreur étant commise, tu peux ensuite aller très loin dans
l'absurdité théorique.
- Calculer le ou les décalages à appliquer à l'une ou l'autre horloge ou aux
deux
Tu entres déjà dans le hors-sujet de l'isochronie.

Tu considères que le temps présent pour A(e1) est le même pour B(e1)
et que l'événement e1 s'est produit
EN MËME TEMPS pour A et pour B, et qu'il suffit juste de "racoller" les
montres.

C'est pas du tout ce qui est vrai en relativité bien comprise, où la
notion de simultanéité des événement n'est pas absolu à l'intérieur
même d'un référentiel où chaque point à son propre hyperplan de
présent propre.
Il suffit que les opérateurs placées en A et en B connaissent ces trois
valeurs. Ils peuvent se les transmettre par le moyen qu'ils veulent (la Poste, un
pigeon voyageur, des signaux de fumée, peu importe). On voit bien qu'aucun point
"M" n'intervient dans la procédure.
Dire autrement est un flagrant mensonge ou un signe de profonde bêtise.
Je vois que tu n'as toujours pas compris (ou que la vérité du concept
te dépasse moralement).

Respire, souffle.

Je tente une dernière approche pour que tu comprennes.

Assise sur son banc, à 300 mètres de Romeo, Juliette émet un bip.

Par un très curieux hasard, dans le référentiel de Romeo, Romeo a
bipé en même temps qu'elle.

Pour Romeo, les deux bips ont réellement, physiquement,
incontestablement eu lieu en même temp, PAR DEFINITION.

On va se dire : "Pffff, facile, et on peut se dire la même chose de
Juliette, les deux bips ont été simultanés pour elle aussi".

C'est cette vision de la physique que je critique.

Pour moi, non seulement la notion de chronotropie est relative avec la
vitesse (rien à voir avec la simultanéité) mais la notion même de
synchronicité est relative par changement positionnel.

Deux événements simultanés pour un observateur ne le seront plus pour
un autre, la simultanéité PURE n'étant d'ailleurs même pas
réciproque.

Chaque observateur voyant l'horloge de l'autre en retard de 2AB/c, alors
qu'ils sont dans le même hyperplan de simultanéité pour l'un, et dans
un autre hyperplan de simultanéité pour l'autre.

Je sui sen train de terminer mes explication sur pdf.

Je poste dès que c'est parfait et sans contestations possibles (ce qu'on
ne va pas hésiter à faire si je manque de précision).

R.H.
Python
2024-11-17 23:35:35 UTC
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Post by Richard Hachel
*Lors de la phase de synchronisation* entre l'horloge A et l'horloge B seuls,
Non, justement.
Il n'y a que deux mesures que l'on peut trouver indiscutables.
tA(e1) et tA(e3).
et tB(e2) qui de même nature : "l'horloge en B mesure tB lors de
l'arrivée/réémission du signal".
Post by Richard Hachel
Bref, il n'est possible, en relativité bien comprise (mais là on peut
toujours rêver), que de synchroniser une horloge qu'avec soi même. Tout autre
horloge n'est PAS synchronisable.
Tu sautes sur un préjugé, nous n'en somme pas encore là.
Post by Richard Hachel
Cela serait possible si le temps présent universel existait.
Le mot "présent" ne correspond à rien en physique.
Post by Richard Hachel
Une sorte de simultanéité "plate" aussi plate que la doctrine de la terre
plate, et où le temps présent est le même temps présent pour tous, ce qui
serait, avouons-le, très simple et très pratique.
En un sens tu as raison, mais comme tu le crois. En absence de gravité la
RR est correcte, ce que décrit la RG est similaire à une passage
d'univers plat à un univers non-plat. Rien à voir, ceci dit, avec ton
délire.
Post by Richard Hachel
Sauf qu'on peut toujours allez se faire mettre chez les grecs... Ca ne marche
comme ça que dans l'esprit débile des physiciens post-newtoniens
pré-hachéliens.
Il n'y a pas de "hachélisme" sinon dans ton esprit malade.
Post by Richard Hachel
tA(e1), tB(e2) et tA(e3) parce que e1 et e3 sont des évènements qui ont lieu
en A et en B pour e2. Sans définition de synchronisation le temps indiqué par une
horloge lorsqu'un événement à lieu ailleurs n'a pas de sens.
Exactement.
Bien. Reprends tout à partir de ça.
Post by Richard Hachel
Ici, on ne peut pour l'instant, connaître que tA(e1) et tA(e3) parce que cela
se passe en A, et que c'est
A qui a déclenché ça montre de façon tout à fait légale. A est en droit de
dire : "J'émets mon photon, et je déclenche en même temps ma montre". Les deux
événement sont conjoints. Il n'y a aucun problème.
Pas plus qu'il n'y a de problème en disant : "Je reçois la réponse et
j'arrête mon chrono". Nouvel événement conjoint. tA(e1)=0µs tA(e3)=2µs.
tA(e3)-tA(e1)=2AB/c
Personne au monde ne peut contredire.
Le reste n'est que prétention isochrone sans aucune preuve (et on n'en
trouvera jamais, bien au contraire).
Que vaut alors tA(e2)? Le mystère est entier,
Il n'a pas de sens. Ce terme n'apparaît pas dans les calculs ni dans les
procédure expérimentales : l'instant d'un événement est *toujours*
(directement ou indirectement) mesuré par une horloge là où il a lieu.
Post by Richard Hachel
et c'est la connerie humaine qui veut que, rendu abrtis par leur notion de
présent plat, des tas de singes se croient en droit d'affirmer tA(e2)=1µs, ce
qui est la bévue la plus catastrophique de l'histoire de la relativité.
Aucune supposition n'est faite sinon l'une que tu admets.

En développant mon programme, séparant la partie physique de la partie
simulation j'ai été surpris d'un truc : ni la distance AB ni la vitesse
de la lumière n'interviennent au final !

Sans la motivation de t'éduquer (et d'apprendre le dev. front) je ne m'en
serais pas rendu compte je crois. Merci !
Post by Richard Hachel
Il n'y a aucune ambiguïté dans l'article d'Einstein où ces valeurs sont
dénotées par tA, tB et t'A.
Einstein fait quelques lignes là dessus. Poincaré une seule. Aucune
démonstration, rien. On admet le temps présent comme absolu par changement
positionnel. C'est faux.
Comme tu le sais j'ai acquis deux ouvrages sur le sujet. Tu mens, ou parle
sans voir rien vérifié. Il y des tonnes de papiers sur le sujets, en
particulier Poincaré et Voight. Einstein arrive en fin du cycle et règle
la question avec une élégance qui confine à la pédanterie. Tout le
monde, à l'époque, à compris cela.

Je te rappelle qu'en 2007 tu ne comprenais *rien* à " t_B - t_A = t'_A -
t_B " en postant "Einstein dit que les horloges battent à la même
vitesse ? Parce que l'équation ci-dessus c'est ça.".

Ben non c'est pas ça, pas du tout.
Post by Richard Hachel
J'en fait quelques pages, preuve que ce n'est pas si simple.
Le fait que tu ais fait "quelques pages" est la preuve que ce n'est pas si
simple, mouais, au sens où tu n'y a jamais rien compris, c'est un peu
court. L'Humanité n'a pas à attendre Richard Lengrand parce qu'il est un
peu con et reste bloqué sur un truc.
Post by Richard Hachel
Il n'y a, par ailleurs, aucun "point M" qui intervient (et aucun de trois
"tM(...)" n'a de sens puisque aucun des événements e1, e2 et e3 ne se produit
là.
Tu n'as pas lu mon pdf, pour la simple raison, que je n'ai publié que deux
pages.
Je l'ai lu. Un copié-collé de sottises auxquelles j'ai déjà répondu.
Post by Richard Hachel
Je vais te montrer en quoi et pourquoi consiste la synchronisation de type M
(qui est celle non du temps présent plat, mais de l'hyperplan de simultanéité
d'un point abstrait, mais qui va se révéler fort utile).
https://www.noedge.net/e/
C'est très joli,
Merci. Bientôt une version avec trois horloges, puis une quantité
arbitraires sur un plan !
Post by Richard Hachel
mais c'est très hors de la plaque.
En fait, tu fais une synchronisation de type M sans le savoir (comme monsieur
Jourdain faisait de la prose sans le savoir).
Les valeurs indiquées par les horloges avant de lancer la synchronisation
peuvent être quelconque ! Contrairement à ce que tu avais prétendu dans un autre
fil ! Tu peux même les saisir toi-même ou les fixer au hasard.
Tu ne comprends toujours pas ce que je dis.
Certes tu peux fixer l'horloge B à tB(e2)=17µs
Mieux : tu peux changer la valeur de l'horloge à tout moment. Et refaire
l'opération : "check" puis "décale". Ceci pour 2, 3, ... n horloges en
repos relatif.
Post by Richard Hachel
Pourquoi pas. Mais même si tu la fixes à tB(e2)=1µs, tout cela sera
insynchronisable. Aucune des montres ne pourra s'accorder pour dire que les
événements ont eut lieu à telle heure absolue.
Il n'y a rien d'absolu. Tout ne concerne que les horloges en repos
relatif. La v3 ajoutera des horloges en mouvement relatifs.
Post by Richard Hachel
Ce que tu fais toi, dans ta démo, c'est de montrer qu'on peut faire une
synchronisation intéressante, pratique, logique. Mais tu n'explique pas (parce
que tu ne le sait pas) que c'est une synchro utile, mais abstraite, et fixée sur
un point M tel que je l'ai défini.
Ton point "M" n'est pas défini, il a juste un nom. La procédure de
synchronisation n'en a pas besoin.
Post by Richard Hachel
Ensuite quand tu lances le test de synchro (de A vers B ou l'inverse) les
- Savoir si la convention de synchro est vraie ou fausse (tB - tA = t'A - tB)
[erratum : tB pas tA à gauche)
Tu ne peux pas écrire tB-tA car ce sont deux mesures différentes prises sur
des endroits différents, et qu'on ne pourra jamais synchroniser. Idem pour
tA'-tB.
Donnes-moi deux nombres, je peux les soustraire. Sans ton autorisation.
Post by Richard Hachel
C'est comme si tu commençais déjà à écrire 17 carottes - 3 navets.
L'erreur étant commise, tu peux ensuite aller très loin dans l'absurdité
théorique.
- Calculer le ou les décalages à appliquer à l'une ou l'autre horloge ou aux
deux
Tu entres déjà dans le hors-sujet de l'isochronie.
Terme sans définition.
Post by Richard Hachel
Tu considères que le temps présent pour A(e1) est le même pour B(e1) et que
l'événement e1 s'est produit
EN MËME TEMPS pour A et pour B, et qu'il suffit juste de "racoller" les
montres.
Un peu, ouais, et ça marche.
Post by Richard Hachel
C'est pas du tout ce qui est vrai en relativité bien comprise, où la notion
de simultanéité des événement n'est pas absolu à l'intérieur même d'un
référentiel où chaque point à son propre hyperplan de présent propre.
Argument : "par ce que HACHE le dit". Bof.
Post by Richard Hachel
Il suffit que les opérateurs placées en A et en B connaissent ces trois
valeurs. Ils peuvent se les transmettre par le moyen qu'ils veulent (la Poste, un
pigeon voyageur, des signaux de fumée, peu importe). On voit bien qu'aucun point
"M" n'intervient dans la procédure.
Dire autrement est un flagrant mensonge ou un signe de profonde bêtise.
Je vois que tu n'as toujours pas compris (ou que la vérité du concept te
dépasse moralement).
Et c'est parti pour du "gna gna gna"...
Post by Richard Hachel
Pour Romeo, les deux bips ont réellement, physiquement, incontestablement eu
lieu en même temp, PAR DEFINITION.
non.
Post by Richard Hachel
gna gna gna
Je poste dès que c'est parfait et sans contestations possibles (ce qu'on ne va
pas hésiter à faire si je manque de précision).
C'est mal barré, très mal barré.
Python
2024-11-17 23:44:06 UTC
Permalink
Post by Richard Hachel
*Lors de la phase de synchronisation* entre l'horloge A et l'horloge B seuls,
Non, justement.
Il n'y a que deux mesures que l'on peut trouver indiscutables.
tA(e1) et tA(e3).
et tB(e2) qui de même nature : "l'horloge en B mesure tB lors de
l'arrivée/réémission du signal".
Post by Richard Hachel
Bref, il n'est possible, en relativité bien comprise (mais là on peut
toujours rêver), que de synchroniser une horloge qu'avec soi même. Tout autre
horloge n'est PAS synchronisable.
Tu sautes sur un préjugé, nous n'en somme pas encore là.
Post by Richard Hachel
Cela serait possible si le temps présent universel existait.
Le mot "présent" ne correspond à rien en physique.
Post by Richard Hachel
Une sorte de simultanéité "plate" aussi plate que la doctrine de la terre
plate, et où le temps présent est le même temps présent pour tous, ce qui
serait, avouons-le, très simple et très pratique.
En un sens tu as raison, mais comme tu le crois. En absence de gravité la
RR est correcte, ce que décrit la RG est similaire à une passage
d'univers plat à un univers non-plat. Rien à voir, ceci dit, avec ton
délire.
Post by Richard Hachel
Sauf qu'on peut toujours allez se faire mettre chez les grecs... Ca ne marche
comme ça que dans l'esprit débile des physiciens post-newtoniens
pré-hachéliens.
Il n'y a pas de "hachélisme" sinon dans ton esprit malade.
Post by Richard Hachel
tA(e1), tB(e2) et tA(e3) parce que e1 et e3 sont des évènements qui ont lieu
en A et en B pour e2. Sans définition de synchronisation le temps indiqué par une
horloge lorsqu'un événement à lieu ailleurs n'a pas de sens.
Exactement.
Bien. Reprends tout à partir de ça.
Post by Richard Hachel
Ici, on ne peut pour l'instant, connaître que tA(e1) et tA(e3) parce que cela
se passe en A, et que c'est
A qui a déclenché ça montre de façon tout à fait légale. A est en droit de
dire : "J'émets mon photon, et je déclenche en même temps ma montre". Les deux
événement sont conjoints. Il n'y a aucun problème.
Pas plus qu'il n'y a de problème en disant : "Je reçois la réponse et
j'arrête mon chrono". Nouvel événement conjoint. tA(e1)=0µs tA(e3)=2µs.
tA(e3)-tA(e1)=2AB/c
Personne au monde ne peut contredire.
Le reste n'est que prétention isochrone sans aucune preuve (et on n'en
trouvera jamais, bien au contraire).
Que vaut alors tA(e2)? Le mystère est entier,
Il n'a pas de sens. Ce terme n'apparaît pas dans les calculs ni dans les
procédure expérimentales : l'instant d'un événement est *toujours*
(directement ou indirectement) mesuré par une horloge là où il a lieu.
Post by Richard Hachel
et c'est la connerie humaine qui veut que, rendu abrtis par leur notion de
présent plat, des tas de singes se croient en droit d'affirmer tA(e2)=1µs, ce
qui est la bévue la plus catastrophique de l'histoire de la relativité.
Aucune supposition n'est faite sinon l'une que tu admets.

En développant mon programme, séparant la partie physique de la partie
simulation j'ai été surpris d'un truc : ni la distance AB ni la vitesse
de la lumière n'interviennent au final !

Sans la motivation de t'éduquer (et d'apprendre le dev. front) je ne m'en
serais pas rendu compte je crois. Merci !
Post by Richard Hachel
Il n'y a aucune ambiguïté dans l'article d'Einstein où ces valeurs sont
dénotées par tA, tB et t'A.
Einstein fait quelques lignes là dessus. Poincaré une seule. Aucune
démonstration, rien. On admet le temps présent comme absolu par changement
positionnel. C'est faux.
Comme tu le sais j'ai acquis deux ouvrages sur le sujet. Tu mens, ou parle
sans voir rien vérifié. Il y des tonnes de papiers sur le sujets, en
particulier Poincaré et Voight. Einstein arrive en fin du cycle et règle
la question avec une élégance qui confine à la pédanterie. Tout le
monde, à l'époque, à compris cela.

Je te rappelle qu'en 2007 tu ne comprenais *rien* à " t_B - t_A = t'_A -
t_B " en postant "Einstein dit que les horloges battent à la même
vitesse ? Parce que l'équation ci-dessus c'est ça.".

Ben non c'est pas ça, pas du tout.
Post by Richard Hachel
J'en fait quelques pages, preuve que ce n'est pas si simple.
Le fait que tu ais fait "quelques pages" est la preuve que ce n'est pas si
simple, mouais, au sens où tu n'y a jamais rien compris, c'est un peu
court. L'Humanité n'a pas à attendre Richard Lengrand parce qu'il est un
peu con et reste bloqué sur un truc.
Post by Richard Hachel
Il n'y a, par ailleurs, aucun "point M" qui intervient (et aucun de trois
"tM(...)" n'a de sens puisque aucun des événements e1, e2 et e3 ne se produit
là.
Tu n'as pas lu mon pdf, pour la simple raison, que je n'ai publié que deux
pages.
Je l'ai lu. Un copié-collé de sottises auxquelles j'ai déjà répondu.
Post by Richard Hachel
Je vais te montrer en quoi et pourquoi consiste la synchronisation de type M
(qui est celle non du temps présent plat, mais de l'hyperplan de simultanéité
d'un point abstrait, mais qui va se révéler fort utile).
https://www.noedge.net/e/
C'est très joli,
Merci. Bientôt une version avec trois horloges, puis une quantité
arbitraires sur un plan !
Post by Richard Hachel
mais c'est très hors de la plaque.
En fait, tu fais une synchronisation de type M sans le savoir (comme monsieur
Jourdain faisait de la prose sans le savoir).
Les valeurs indiquées par les horloges avant de lancer la synchronisation
peuvent être quelconque ! Contrairement à ce que tu avais prétendu dans un autre
fil ! Tu peux même les saisir toi-même ou les fixer au hasard.
Tu ne comprends toujours pas ce que je dis.
Certes tu peux fixer l'horloge B à tB(e2)=17µs
Mieux : tu peux changer la valeur de l'horloge à tout moment. Et refaire
l'opération : "check" puis "décale". Ceci pour 2, 3, ... n horloges en
repos relatif.
Post by Richard Hachel
Pourquoi pas. Mais même si tu la fixes à tB(e2)=1µs, tout cela sera
insynchronisable. Aucune des montres ne pourra s'accorder pour dire que les
événements ont eut lieu à telle heure absolue.
Il n'y a rien d'absolu. Tout ne concerne que les horloges en repos
relatif. La v3 ajoutera des horloges en mouvement relatifs.
Post by Richard Hachel
Ce que tu fais toi, dans ta démo, c'est de montrer qu'on peut faire une
synchronisation intéressante, pratique, logique. Mais tu n'explique pas (parce
que tu ne le sait pas) que c'est une synchro utile, mais abstraite, et fixée sur
un point M tel que je l'ai défini.
Ton point "M" n'est pas défini, il a juste un nom. La procédure de
synchronisation n'en a pas besoin.
Post by Richard Hachel
Ensuite quand tu lances le test de synchro (de A vers B ou l'inverse) les
- Savoir si la convention de synchro est vraie ou fausse (tB - tA = t'A - tB)
[erratum : tB pas tA à gauche)
Tu ne peux pas écrire tB-tA car ce sont deux mesures différentes prises sur
des endroits différents, et qu'on ne pourra jamais synchroniser. Idem pour
tA'-tB.
Donnes-moi deux nombres, je peux les soustraire. Sans ton autorisation.
Post by Richard Hachel
C'est comme si tu commençais déjà à écrire 17 carottes - 3 navets.
L'erreur étant commise, tu peux ensuite aller très loin dans l'absurdité
théorique.
- Calculer le ou les décalages à appliquer à l'une ou l'autre horloge ou aux
deux
Tu entres déjà dans le hors-sujet de l'isochronie.
Terme sans définition.
Post by Richard Hachel
Tu considères que le temps présent pour A(e1) est le même pour B(e1) et que
l'événement e1 s'est produit
EN MËME TEMPS pour A et pour B, et qu'il suffit juste de "racoller" les
montres.
Un peu, ouais, et ça marche.
Post by Richard Hachel
C'est pas du tout ce qui est vrai en relativité bien comprise, où la notion
de simultanéité des événement n'est pas absolu à l'intérieur même d'un
référentiel où chaque point à son propre hyperplan de présent propre.
Argument : "par ce que moi moi moi Lengrand, HACHEL le dit". Bof.
Post by Richard Hachel
Il suffit que les opérateurs placées en A et en B connaissent ces trois
valeurs. Ils peuvent se les transmettre par le moyen qu'ils veulent (la Poste, un
pigeon voyageur, des signaux de fumée, peu importe). On voit bien qu'aucun point
"M" n'intervient dans la procédure.
Dire autrement est un flagrant mensonge ou un signe de profonde bêtise.
Je vois que tu n'as toujours pas compris (ou que la vérité du concept te
dépasse moralement).
Et c'est parti pour du "gna gna gna"...
Post by Richard Hachel
Pour Romeo, les deux bips ont réellement, physiquement, incontestablement eu
lieu en même temp, PAR DEFINITION.
non.
Post by Richard Hachel
gna gna gna
Je poste dès que c'est parfait et sans contestations possibles (ce qu'on ne va
pas hésiter à faire si je manque de précision).
C'est mal barré, très mal barré.
Richard Hachel
2024-11-18 00:46:51 UTC
Permalink
Post by Python
Post by Richard Hachel
tA(e1) et tA(e3).
et tB(e2) qui de même nature : "l'horloge en B mesure tB lors de
l'arrivée/réémission du signal".
Certes, mais tu l'as synchronisée avec quoi ou plutôt SUR QUI?

Je peux très bien écrire tA(e1)=0µs, tA(e3)=2µs, tB(e2)=17µs mais
quelle est la cohérence, quel est le fédérateur qui me donne une
étiquette cohérente à utiliser et surtout basée sur qui?

Pour que tout reste cohérent, il faut trouver un intervenant idéal (et
"idéal"), pour lequel existe une sorte de simultanéité universelle
cohérente, c'est à dire que deux ou plusieurs événements puisse être
dits simultanés dans son hyperplan de temps présent.

La simultanéité n'étant pas une notion absolue, puisque celle-ci
dépend de la position de l'observateur dans le repère.

R.H.
Richard Hachel
2024-11-18 00:56:41 UTC
Permalink
Je te rappelle qu'en 2007 tu ne comprenais *rien* à " t_B - t_A = t'_A - t_B "
en postant "Einstein dit que les horloges battent à la même vitesse ? Parce que
l'équation ci-dessus c'est ça.".
Je n'ai pas dit que je n'y comprenais rien, au contraire, non seulement
je comprends très bien, mais je dis que c'est faux.

C'est faux pour A, et c'est faux pour B.

Ce n'est vrai, respirez, soufflez, et arrêtons de jouer au con, que pour
un observateur M qui observe les chose de façon purement et
intégralement transversale.

Quant à "l'équation ci dessus c'est ça", ça veut simplement dire que
si l'on accepte ça, c'est à dire
" t_B - t_A = t'_A - t_B " , on nie toute anisochronie, et DONC que la
relativité se résume simplement à
dire que les horloges ne battent pas à la même vitesse.

Bref que ce n'est qu'une affaire de chronotropie réciproque positive
(chaque horloge bat plus vite que l'autre par changement de
référentiel).

Or, c'est pas du tout ça la RR telle qu'elle DEVRAIT être enseignée à
mon goût.

R.H.
Richard Hachel
2024-11-18 01:04:59 UTC
Permalink
Post by Python
Donnes-moi deux nombres, je peux les soustraire. Sans ton autorisation.
Tu peux soustraire des nombres, mais pas des valeurs appartenant à des
mondes différents.

Trois carottes moins deux navets n'ont jamais fait une banane.

Retrancher le temps d'une Stella dans l'évolution d'un Terrence, c'est
débile.

Retrancher le temps d'un parcours (trajet de A à B) mesuré par M, de ce
qu'en mesure M' placé ailleurs (même dans le même référentiel
stationnaire) c'est incompatible avec une RR bien comprise où la POSITION

de l'observateur jour un rôle capital (comme sa vitesse d'ailleurs, mais
selon un mode différent).

R.H.
Richard Hachel
2024-11-18 01:10:00 UTC
Permalink
Post by Python
Il n'a pas de sens. Ce terme n'apparaît pas dans les calculs ni dans les
procédure expérimentales : l'instant d'un événement est *toujours*
(directement ou indirectement) mesuré par une horloge là où il a lieu.
Pas du tout.

Je synchronise ma montre au premier janvier.

Le 27 février, j'observe une supernovae qui vient d'éclater.

Cela à lieu là bas.

Je peux en donner un temps ici.

Je ne me suis pas rendu là bas.

Les physiciens non plus...

Pourtant on donne une date, eux pour la réception, moi pour l'émission
et le fait lui-même.

C'est la même date.

La différence chez moi, tu la connais : "Ce cheval dans ce pré, cette
lune dans le ciel, cette galaxie dans ce télescope... gnagnagna...."

R.H.

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